Je couds, tu tricotes, on troque ?
Comme noté précédemment, je suis incapable de tricoter: j'oublie des mailles en les comptant, je ne sais jamais où j'en suis (difficile de penser à deux choses à la fois) et en plus je trouve ça terriblement long!
Je préfère de loin la couture. En plus, c'est tellement facile avec une machine à coudre!
L'inverse d'Aurélie qui tricote pour sa petite chenille Hanaé mais qui ne coud pas.
On s'était donc mise d'accord pour faire un troc, un ouvrage couture contre un ouvrage tricot !
Et puis comme Aurélie habite dans la région lyonnaise et qu'on était de passage par là-bas ce week-end, on a décidé de se rencontrer pour s'échanger nos surprises! C'est bien plus sympa, non ?!?
Malheureusement, Hanaé était malade samedi et nous, nous avions eu une rude journée. Nous n'avons donc pas pu vraiment profiter de cette rencontre, mais ce n'est que partie remise!
Voila donc en images le petit tablier que j'ai cousu avec sa petite pointe pour ramasser ses cheveux lorsqu'on cuisine, troqué contre une très jolie veste bleue en laine (tirée des intemporels).
Le tablier doit tailler un grand 2 ans. J'ai copié la forme sur un tablier qu'on m'a donné. Au niveau de la lanière du cou, il y a des boutons afin de régler cette lanière au fur et à mesure que l'enfant grandit. Les boutons sont en pâte polymère (mes 1ères réalisations en pâte FIMO, ce qui explique qu'ils ne soient pas très bien réalisés). Par contre, je me suis trompée, au lieu d'acheter de la pâte polymère blanche, j'ai pris de la pâte phosphorescente. Mes boutons brillent légèrement dans la nuit!
Edit du 2/12 : Allez vite voir sur son blog, Hanaé est trop mimi avec son tablier !
Cliquez sur l'image pour qu'elle soit plus nette
Je trouve que cette jolie veste va très bien au Bibounou (elle est assortie à ses yeux). Il y avait aussi une balle en laine que je n'ai pas photographié (je n'ai pas bien compris comment elle l'a réalisée, mais cette balle, elle rebondit!). Encore merci Aurélie!
J'ai trouvé que ce troc était vraiment super sympa, à refaire donc !